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  • #61
    Les deux minutes qui suivent ne sont guères palpitantes, l’équipage du char détruit par Valryan sort de ce dernier en panique, quelque petit mouvement d’infanterie difficilement interprétables et plus que fugitivement entraperçus.

    On notera seulement qu’Alberich et l’équipe de réserve occupe désormais l’extrême gauche du dispositif, que les hommes de Galadas posé des garreaux sur Elanion, lui ont injecté un anti-douleur avant de l’installer un peu à l’abris dans les bois. Le Leutnant Von poltron a fait de même avec son homme blessé, espérant stabiliser son état, ainsi que Edm56 avec son propre gars. En revanche les soldats de Diderlord gisent toujours dans leur sang, personnes ne voulant risquer d’affronter les canons des T-34 pour les tirer de là.


    Nous arrivons donc à la minute :

    30 - 29 :



    Ce que nous supposons être le dernier char soviétique du côté de la Gran’-route est aperçu fugitivement par Valryan. Mais Il disparait aussitôt derrière un arbre, une fraction de seconde avant que le stugIII ne tire. Dommage !





    Il est néanmoins utile de savoir que le dernier T-34 se dirige vers le petit chemin !! Emil a du réaliser que deux stug se trouvaient derrière le pont et qu’il ne pourrait rien faire avec un seul T-34. Il doit sans doute se rabattre vers le petit chemin, où il espère trouver une moins forte présence antichar.



    Valryan transmet immédiatement l’information à Von Archange et Zaariel, et ce dernier hésite, doit il déporter son propre blindé vers le petit chemin pour soutenir Benoit ?


    Zaariel qui réfléchit :




    Benoit quand à lui, jaloux du succès de ses compagnons dans les mintues qui précèdent, se met à scruter la forêt avec une ardeur décuplée. Et finalement, il s’aperçoit que la tâche verte un peu plus pâle qu’il prenait pour un arbre malade est en réalité un blindé soviétique. La même manœuvre se répète au sein du blindé et BOUM !



    Et 1, et 2 et 3 - 0 !



    Regardez ces russes qui s’enfuient comme des cafards hahaha !





    Benoit en remet une couche en tirant à nouveau. Ce n’était sans doute pas nécessaire et risque de le faire repérer, si ce n’était pas déjà fait.





    Situation en fin de tour :



    C’est loin d’être gagné, l’infanterie soviétique pourrait bien déborder nos troupes, même avec un soutien blindé limité, mais il faut garder espoir ! Nos tankistes pourraient bien nous sauver la mise !

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    • #62
      ca chauffe, ca chauffe !

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      • #63
        Les T 34 sont à point on dirait!

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